Sorcières d'Atarah
Sorcières d'Atarah
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Même si tout a été ravagé,
Que le Royaume d’Atarah est gangréné,
Le Chaos n’a pas encore complètement gagné.
Je m’appelle Freya et aujourd’hui, je vais mourir. Pendue pour un crime terrible, pendue pour ce que je suis : une sorcière !
Depuis la mort de son époux, la Reine Téméra est partie à la chasse. Aidée de son fils par alliance, le Traqueur, elle sème la terreur dans tout le Royaume et même au-delà. Je ne les crains pas, je les hais. Et je n’ai pas peur de mourir. Ce qui m’effraie est tout autre.
Alors que j’expirais, une Déesse est venue à ma rencontre et m’a confié une mission. Celle de sauver toutes les sorcières. Je m’en sais incapable. Comment pourrais-je les aider alors que mes dons me terrorisent ? Comment pourrais-je les aider alors que je suis une anomalie : une sorcière liée à aucun des quatre Éléments ?
Pour Hazel, oui, j’essaierai. Celle pour qui j’ai donné la vie et la donnerai encore. Ma petite sœur que le Traqueur souhaite tuer à son tour.
Il ne l'aura pas.
Auteur(e) : Shirley Le Corne
Cordes de Lunes Editions
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- Cordes de Lune Editions
- Dark Fantasy
- Magie Elementaire

Qui est Shirley le Corre :
Shirley Le Corre est l’autrice de la série Les Héritiers du chaos, dont le premier tome, Sorcières d’Atarah, est paru le 31 octobre 2024 aux éditions Cordes de Lune. Son imaginaire s’inscrit dans la veine de la fantasy sombre, entre sorcellerie, chasse aux sorcières, royaumes en tension et créatures fantastiques. Elle y déploie un univers dense et sensible, alliant magie, émotion et récit initiatique. Porteuse d’une voix singulière, elle insuffle à la dark fantasy française une intensité émotionnelle particulièrement envoûtante.
Shirley Le Corre écrit pour donner voix à des héroïnes puissantes et sensibles, dans des univers sombres où la magie et l’émotion se croisent. Son écriture se nourrit par : Un besoin de réenchanter le réel, une dimension « magique » enracinée dans la nature et la féminité, ainsi que l’envie de réparer par la fiction : ses récits parlent de renaissance, de résilience, de luttes contre les oppressions.
Écrire, pour elle, est un acte à la fois introspectif et militant, intime et universel — une manière d’ouvrir un espace où les voix marginales deviennent centrales.